Broniewicz Jozef Kasper

2 novembre (ou septembre) 1806 – 22 septembre 1890.
Fils de Szymon Tadeusz Broniewicz des armoiries de Radwan et Franciszka Skalska.
Son épouse : Karolina Orzeszek vel Orzeszko vel Orzechowicz.
Ils avaient dix-sept enfants.
Grand patriote, grande figure de la ville de Kazimierz Dolny.
 

Quelques dates

2 novembre 1806 – naissance à Rokitno, environs de Lubartow, voi. Lublin.

26 janvier 1830 – mariage avec Karolina Orzechowicz, Kazimierz Dolny.

1830 – naissance du premier enfant : fille, Marianna.

1831 – décès de Marianna.

1831 – naissance de l’autre fille, Marianna.

1863-65 – participation dans l’insurrection patriotique contre l’Impérium Russe.

1865 – décès de sa femme Karolina.

22 septembre 1890 – décès, Kazimierz Dolny.

Son épouse, Karolina Orzeszkowa

1809 (ou 1813), Kazimierz – 1865

Appelée aussi Orzechowicz, Orzeszek dans l’acte de mariage et encore Orzeszko.
Orzeszkowa dans l’acte de mariage de sa fille Paulina Laniewska.

Son père : Jan Orzechowicz
Sa mère : Tekla Michalska
Karolina avait deux sœurs :
– Magdalena, mariée avec Wojciech Kraszewski
– Barbara, mariée avec Stanislaw Kozak.

1830 – mariage à Kazimierz Dolny.

Courageuse pendant l’insurrection de 1863 – elle a vécu avec ses filles sans savoir ce que devient son mari, elle s’occupait de la gestion des biens, et par-dessus tout, elle a vécu l’incendie de “Walencja”.

Elle décède le 18 février 1865, l’acte de décès mentionne “…âgée de 52 ans, en laissant son époux veuf, Jozef Broniewicz, aujourd’hui de lieu d’habitation inconnue.” En effet, il se cachait de peur de persecutions suite à sa participation à l’insurrection 1863.

source arbre généalogique 1, source 2
Acte de mariage : Kazimierz Dolny, 1830, n° 3.

Vie personnelle et professionnelle​

Jozef Kasper est né à Rokitno, mais depuis son enfance il a vécu, étudié et travaillé à Kazimierz Dolny.
 Il y décède.

Nous n’avons pas beaucoup d’information sur sa jeunesse. On sait qu’il avait, comme ses frères Walenty et Jakub, des connaissances en comptabilité. Mais son occupation principale était “Walencja”.

En 1830 il épouse Karolina, fille de Jan Orzechowicz (parfois appelé Orzeszko), propriétaire des terrains voisins  “Orzechowizna” et “Paldyna”. Après le mariage, Jozef Kasper s’installe dans la maison de son beau-père et gère ce domaine. Rapidement il fait construire dans le voisinage la maison appelée “nowa chalupa” par opposition à la maison de Orzechowicz “stara chalupa”.

Jozef Kasper et Karolina avaient 15 enfants, les actes de naissances le  prouvent, mais peut-être qu’il y avaient d’autres, actes perdus  !
Seulement sept filles ont survécu à la mortalité infantile très importante à l’époque. Aucun fils, pourtant il en avait quatre.

Ils vivaient modestement. Jozef Kasper n’a pas cherché à faire la carrière, l’argent. Il n’a pas fait les démarches pour confirmer sa noblesse. Parce qu’il n’avait pas de fils héritiers ou parce que, après tout, noble on est, on n’a pas à prouver devant les dominations étrangères ?

1847 – il vie trois décès de ses enfants : Jozefa (10 ans), Joanna (6 ans) et Jozef (1 an). Une maladie infectieuse ?

En janvier 1863 il participe à l’insurrection des Polonais contre l’Empire russe. Recherché par la police russe, il se cache pendant 2 ans et rentre à la maison en mars 1865.  Son épouse décède 3 semaines avant son retour. Le manoir a été brûlé par les Russes. Encore des grandes épreuves de la vie.

Après le décès de Walenty, il achète la part d’Antoni, et il a dans sa gestion la part de Jakub.

22 septembre 1890 – à l’âge de 83-84 ans il décède à Kazimierz Dolny. ses filles lui font un tombe avec l’épitaphium :

“O nie – Ty nie umarłeś, chociaż ciało w grobie,

Duch Twój nigdy żyć w sercach naszych nie przestanie

Oto wychodzą siewcy w ciężkiej serc żałobie

Zasiać Twoje ziarno na ojczystym łanie.

Tłum roboczy do trudu świętego się garnie

Błogosław Ty ich pracy, niech nie ginie marnie.”

Traduction loin de rendre la beauté de l’original :

“Oh non – Tu n’es pas mort, bien que le corps dans la tombe, Ton Esprit ne cessera jamais de vivre dans nos cœurs.
Voici que les semeurs sortent le cœur lourd de deuil
pour semer Ta graine dans leur champ natal.

La foule des travailleurs aux sacrés supplices se précipite.
Bénis leur travail, qu’il ne périsse pas en vain.”

(Rejestr w księgach parafialnych Acte n° 32 paroisse św.Jana Chrzciciela i św. Bartłomieja Apostoła)
„Studia Puławskie. Zagadnienia społeczno-historyczne”, t. 5(7), Puławy 1997.

Soulèvement de 1863

Nous profitons du récit de Jerzy Broniewicz, son descendant, en le citant ci-dessous.

La grande aventure de l’automne de sa vie a été le soulèvement de janvier 1863. Il s’est battu dans le parti de L. Frankowski dans la bataille de Słupcza, et plus tard dans le parti de Langiewicz.
Quelques mois d’espoirs et de rêves d’une Patrie libre, quelques mois d’actions qui devaient apporter cette liberté… et encore les ténèbres de la captivité.
Ces quelques mois, cependant, ont fait que la figure de Jozef Kasper Broniewicz occupe une place tout à fait unique dans la mémoire des générations suivantes ; elle reste éternellement jeune et vivante.

déscription dans  “Le Monde Illustré”

A presque 60 ans, il n’a pas eu à prendre des armes et à risquer sa vie dans le hasard de la guerre. Il faut admirer sa détermination et son courage lorsqu’il a choisi de se battre.
 Il a pris la décision qu’ils ne pouvaient pas ou ne voulaient même pas prendre plus jeunes et plus habiles que lui.

Józef Broniewicz, comme ses frères aînés Jakób et Walenty, avait des connaissances dans le domaine de la comptabilité et de la tenue des comptes, il était donc payeur au parti de Zdanowicz-Frankowski. Son  manoir “Valencia”, situé loin des routes et autres bâtiments, était parfait pour les réunions et les quartiers clandestins. Il a été utilisé par Leon Frankowski avant et immédiatement après le déclenchement du soulèvement.

Dans la nuit du 22 au 23 janvier, Frankowski a guidé une unité d’insurgés de Końskowola à Kazimierz où plusieurs dizaines de personnes de l’organisation locale ont rejoint l’unité. Le 24 janvier, Frankowski se trouve à Kurow, où les insurgés ont désarmé les soldats russes et capturé 48 000 roubles.
 Frankowski a prononcé un célèbre discours à Kurow. 
Ce jour-là, 215 insurgés ont défilé jusqu’à Kazimierz. Parmi les membres de l’organisation de Kazimierz, il y avait Józef Broniewicz.

Dans sa maison du manoir “Walencja”, le commandement – Leon Frankowski et Antoni Zdanowicz – était logé ainsi qu’une partie de l’unité ; parmi les Pulawiens se trouvaient Adam Chmielowski [plus tard
Frère Albert], Maksymilian Gierymski, Józef et Karol Wójcicki, Stanisław Żukowski. Pendant 10 jours, “Valencia”, c’est-à-dire Józef Broniewicz, sa femme Karolina  (j.f. Orzeszko) et ses filles, ont accueilli les insurgés.

Une des filles, Anastazja, qui avait 15 ans à l’époque, se souvenait de cette époque et racontait parfois ce qu’elle pensait être le plus important. A savoir, que dans une énorme cheminée Frankowski a ordonné de fermer le policier militaire capturé. Cependant, jeune et en bonne condition physique, il a pu s’échapper la nuit avec le conduit de cheminée qui se rétrécissait vers le haut.

La deuxième de ses filles, Franciszka, voulait aller combattre avec son père. Elle s’est fabriqué les vêtements adéquats, elle a trouvé un couteau et un pistolet, mais le développement rapide des événements à Kazimierz ne lui a pas permis de partir le 1er février.

La troisième fille, Paulina, était officier de liaison et portait les rapports dans ses magnifiques tresses ramaasées en couronne.

L’atmosphère de “Valence” ressemble à un poème de Jerzy Paczkowski sur l’année 1863 :

…Une vieille flûte joue, les coqs mâchent
et les coutelas bourdonnent.

Sur les chemins de la forêt,
court un réveil.
C’est les nôtres, les nôtres sont allés dans les bois…


D’autres sources, cependant, savent que le camp du parti de Frankowski-Zdanowicz ne ressemblait pas toujours à une idylle. Feliks Valery Piasecki se présente dans les quartiers de Frankowski à Kazimierz pour la nomination du chef de district et les instructions. 
Il y est arrivé sans être arrêté par personne. Les jeunes soldats, même s’ils ne sont pas entraînés, semblent pour Piasecki être pleins de vigueur et d’espoir en la victoire, mais il affirme également qu’il y a de l’alcool et une joyeuse atmosphère d’insouciance dans le camp.

Après que les insurgés aient quitté Kazimierz en direction de Sandomierz, l’armée russe est venue et a brûlé le manoir de  Jozef Kasper dans un acte de vengeance.
Je ne connais pas les détails du séjour de Józef Broniewicz au sein du parti de Langiewicz et de ses péripéties de guerre.
 On sait qu’il est rentré chez lui le 13 mars 1865.

Jozef Broniewicz est mort le 22 septembre 1890. Ses filles ont fondé une pierre tombale entourée de chaînes de fer et une plaque sur laquelle elles ont placé une belle épitaphe :
Oh non – Tu n’es pas mort, bien que le corps dans la tombe, Ton Esprit ne cessera jamais de vivre dans nos cœurs. Voici que les semeurs sortent le cœur lourd de deuil pour semer Ta graine dans leur champ natal.
La foule des travailleurs au supplice du saint est engrangée. Bénissez leur travail, qu’il ne périsse pas en vain.

source Michniewski
Bataille de Slupcza, le 8 février 1863

Jozef Kasper Broniewicz, parmi une centaine de Polonais, a participé à cette bataille perdue.

Plus d’info wikiwand (anglais) 

 

Bataille de Żyrzyn, le 8 August 1863

Un convoi militaire transportant 201 000 roubles s’apprête à passer par la gare postale de Żyrzyn. Le général Kruk immédiatement décide d’organiser une embuscade.

Dans la matinée du 8 août 1863, une unité des Russes d’environ 500 soldats et 2 canons est attaquée par une unité d’insurgés beaucoup plus nombreuse (mais moins armée) (environ 3000, dont 1400 fusiliers).

Après trois heures de combat, les Russes ont démissionné du champ de bataille. Seul Laudanski, le commandant, a réussi à se retirer avec 87 personnes.
Les Polonais ont subi des pertes beaucoup plus faibles : 10 morts et 50 blessés.
Après la bataille, certains des soldats russes se sont rangés du côté des insurgés, les autres ont été libérés lentement après avoir prêté serment de ne plus se battre contre les Polonais.

Environ 400 fusils ont été capturés et 140 000 roubles ont été repris (le reste a été perdu). L’argent a été alloué par gén. Heidenreich-Kruk, commandant polonais au renforcement organisationnel des unités opérant dans les provinces de Lublin et de Podlasie.

sources
wikiwand (anglais)
d’après Mikołaj Spóz (polonais): MM – Moje Miasto Pulawy , 15-01-2012 POLISH CLUB ONLINE, 2013.01.17
Ewa Pisula Dąbrowska raconte son arrière-grand-père.

Très beau regard sur l’histoire familiale.

source
fragment książki Ewy Pisuli Dąbrowskiej „Dwa brzegi ponad tęczą” (polonais)

Ses enfants

Marianna Broniewicz

1830 – 1831

Magdalena Pisula

1833 – ?

Il paraît qu’elle ressemblait beaucoup à Anastazja, sa sœur.

1850 – Mariage avec Jakub Jacenty Pisula (24 juillet 1831 – ?) à Kazimierz (act n° 25). Il est l’agriculteur à Kazimierz.

Ils ont 12 enfants.

Enfants

1 Franciszek

Ses enfants :
– Walerian (voir les photos de ses petits fils et ses arrières-petits-fils).
– Bronislawa
– Genowefa Leontyna

2 Józef
3 Antoni
4 Marianna Pisula
5 Konstancja Tarłowska
6 Marianna Pisula
7 Aniela Joanna Górecka
8 Wacław
9 Leontyna Franciszka Liszewska
10 Emilia Agnieszka Tarłowska
11 Franciszek
12 Wacław

(env. 1868 – 10 02 1944, Kazimierz Dolny (acte n°20)). Sa femme : Górecka Władysława.

Walenty Broniewicz

1835 – 1836

Józefa Broniewicz

1837 Kazimierz Dolny – 1847 Kazimierz Dolny

Franciszka Sąchocka

1839 Kazimierz Dolny – 1904

Mariage en 1872 avec Feliks Sonchocki (Sachocki) à Kazimierz Dolny (acte n°2). Il était originaire de Kazimierz. Il décède très jeune, Franciszka devient rapidement veuve sans enfants.

Elle vit avec son père, c’est principalement elle qui s’occupe du domaine.

Joanna Broniewicz

1841 – 1847

Wawrzyniec Broniewicz

1841 – 1844

Salomea Walentyna Borowska

1844 Kazimierz Dolny – 1928 Radom

parfois Walentyna Salomea.
Officier de liaison lors du soulèvement de 1863.

Elle a profité de l’hospitalité de Walenty Broniewicz, frère de son père, qui vivait à Varsovie, pour y faire ses études. Elle y rencontre son futur mari.

Mariage le 21 septembre 1879 à  Pulawy-Wlostowice avec Józef Alexander Borowski (26 février 1838 Miedzeszyn – après 1879),  fils de Rupert Wojciech et Ludwika Helena Trzciñska ; mariage dans la paroisse de Puławy-Włostowice. Veuf, il est fonctionnaire de Nadwislanska Kolej Zelazna (Société de Chemin de fer de la Vistule).

Enterrés : Cimetière à Radom.

Ils ont un enfant : Bronisław Czesław.

Sources : Bon. vol. 2/138 ; Dw. Teki ; SGKP vol. 15 cz.1/23 ; Szl. Król. ; Urus. vol. 1/400.
Arbres généalogiques : MyHeritage, 91708068 géré par Krzysztof Łuszczewski

Enfant

Bronisław Czesław Borowski

1879 – 8 décembre 1943 Radom.
Sa femme : Józefa Aurelia Borowska (z d. Suerman) ? – 1958
Ses enfants :
1 Witold Borowski 1913 – ?
2 Stefan Borowski 1920 – ?
3 Anna Jadwiga Apanowicz 1915 – 2010.

Józef Broniewicz

1846 Kazimierz Dolny – 1847 Kazimierz Dolny

Walenty Broniewicz

1846 – ?

Anastazja Bronisława Broniewicz

1848 – 1938

Dans sa jeunesse, comme sa soeur Salomea Walentyna, elle habitait à Varsovie chez son oncle Walenty pour y faire ses études. Et comme sa sœur elle y rencontre son futur mari.

Mère aimante, elle suit son fils en exil à Moscou, à Nikolajewo.

Mariée avec Wacław Józef Broniewicz, fils de Jakub, frère de Jozef Kasper.
voir aussi cette page qui en parle

Ils avaient un fils Broniewicz Wacław.

Enfants

Broniewicz Wacław

1880, Puławy – 1955

Enseignant. Marié le 16 08 1913 avec Julia Helena Kochańska (1888 –  ?), fille de Jan et Seweryna Urbanowska vel Urbańska à Puławy-Włostowice (acte n° 40).
Depuis 1920, professeur au collège A.J. Czartoryski à Puławy.
Il est enterré à Włostowice (Puławy).
Selon l’autre source : Wacław 1887 – 1970.

Juste après la Grande Guerre, donc dès l’Indépendance de la Pologne, Waclaw accroche le panneau sur la maison de son grand-père, Jozef Kasper, en souvenir de son combat patriotique. (Photo plus haut). L’adresse : Gory 46. La maison étant détruite en 1956, le panneau se trouve au Musée de Pulawy.

Ses enfants :
1 Jerzy Broniewicz, qui va écrire “Famille de Broniewicz”, mine de souvenirs mais aussi des recherches documentés sur la famille.
2 ? Broniewicz,
3 Halina (Lilka) Broniewicz.

source
MyHeritage Broniewicze Web Site, géré par Marcin Apanowicz

Paulina Łaniewska

1850 Kazimierz – 19 11 1938

11 février 1873 – mariage à Dziekanow avec Wladyslaw (env. 1845 ou 48-?), enseignant, fils d’Adam et Julianna Zienkiewicz. Adam était propriétaire terrien, il exerçait aussi des hautes fonctions dans l’administration locale, par exemple en 1862 il était membre du Coneil du Comté de Hrubieszow.

Dziekanow était le domaine de l’oncle Jakub, frère de Jozef Kasper. Paulina a donc connu son époux là-bas ? Ils ont habité là-bas ? Selon Jerzy B. le couple vivait à Bialystok.

 

son acte de mariage (Paulina fille de Szarlota Orzeszkowa)
myheritage
Marek Madzik, Histoire de Hrubieszow.

La photo, prise à Chelm vers 1897, provient de la page “La noblesse terrienne polonaise au vingtième siècle”.  Cette photo est une grande découverte et, avec la légende, elle apporte beaucoup d’informations.

Enfants

Adam Łaniewski

1874 Dziekanów – ?
Fils unique, selon Jerzy B. Il s’agit d’une erreur, comme le confirme la photo de groupe.

Stefania Spolitak

15 04 1876, Hrubieszów – 31 12 1942, Kielce

Elle est enterrée à Kielce.

Son mari : Konstanty SPOLITAK né en 1878 à Dziekanów. Il est avocat. Il est décédé en 1911 à Dziekanów, où il est enterré.

Certaines sources disent qu’ils ont eu sept enfants, d’autres qu’ils en ont eu deux ou trois. Comme nous avons trouvé un document au nom de Konstanty Spolitak datant de 1937 à Kielce, nous nous en tiendrons à la version avec 7 enfants.

Leurs enfants

Ils ont eu sept enfants :

– Tatiana Spolitak. 12 01 1898 Warszawa – ?
Mariée à Piotr Janik le 10 04 1926 à Kielce.

– Vadim Spolitak 1905 – 19 11 1985
La pierre tombale se trouve dans le cimetière paroissial de Kielce – Nowy, concession B1, 6, 16.
Wladyslawa Spolitak (1901 – 27 08 1991) est enterrée dans la même tombe. Peut-être était-elle son épouse ?

source

– Konstanty Spolitak 1907 ? ou 1911 selon M. Zuk – ?
Sur la photo figure un avis du 31 12 1937 concernant un livret militaire perdu. L’année indiquée entre parenthèses est probablement l’année de naissance. Konstanty vit à Kielce, tout comme sa mère.

– Ksenia Michniewska (née Spolitak) 19 03 1909 – 9 10 1997.
Mariée le 26 12 1937 à Kielce avec Maciej Michniewski 17 02 1914 Suchedniów – 7 02 1992 Kielce.

– Taras Spolitak

– Lidia Spolitak

– Halina Spolitak

Józef Łaniewski

10 09 1879 Bialoskóry, district de Hrubieszów –
mai 1940 Starobielsk (URSS)

Son épouse était Stanisława Łaniewska (née Rau)
1892 – 1961

zrodlo : myheritage Wiesław Gajdek

Emilia Petronela Jaroszyńska

1852 Kazimierz Dolny – 1933

Czasami nazywa się Elżbieta Petronela.
W 1874 r. poślubiła w Kazimierzu Jana Jaroszyńskiego (akt nr 13). Jan jest urzędnikiem pocztowym w Kazimierzu. Wkrótce potem przenoszą się do Lublina.

Emilia Petronela Jaroszyńska

1852 Kazimierz Dolny – 1933

Appelée parfois Elzbieta Petronela.
En 1874 mariage avec Jan Jaroszyński (acte n° 13) à Kazimierz. Jan est un fonctionnaire de la poste à Kazimierz. Peu après ils déménagent à Lublin.

Enfants

1 Bronisław Jaroszynski

env. 1877, Kazimierz – 1945, Lublin
Veuf.

(acte du décès n° 339).
2 Wanda Jaroszyńska

26 03 1883, Zwoleń – ?

acte de naissancen° 93

Stanisława Broniewicz

1881 – 1887

une erreur sûrement : Karolina, sa supposée mère, est décédée en 1865.

source : MyHeritage Małgorzata Zuk family

Stanisława Broniewicz

? – 1914, Krasnojarsk, Russie

Elle est enterrée à Krasnojarsk.

Une seule source en parle comme fille de Jozef kasper et Karolina – cette information est donc à confirmer. Probablement il s’agit de la sœur de Marjanna Teodora Turkietti, fille de Antoni Broniewicz et Emilia Prejzner.

source : MyHeritage Hometree, géré par Marek Pietrusiak